Esculturas charmosas
Nessa minha viagem pela Europa, tirei algumas fotos de vitrines que de uma forma ou de outra, tinham um diferencial.
Pelas ruas de Paris, passei em frente a
uma loja e fiquei encantada com as esculturas que percorriam o seu
interior e suas vitrines. Isso pelo tamanho, fofura e pelo charme e posições que as mesmas estavam expostas.
Vitrine = Marketing para atrair olhares
para possíveis compras.
"Josefa
começou sua carreira como designer de moda, refletindo a forte
necessidade de expressar toda a feminilidade e sensualidade...
... Josepha tomou todas as atitudes da vida feliz para animar suas esculturas, que combina vidro e bronze..."
Texto original:
Josepha
a débuté sa carrière comme créatrice de mode, ce qui dénote chez elle
le besoin impérieux d'exprimer toute la féminité et toute la sensualité
qui l'habitent, ô combien !
Elle
est ainsi passée du cuir sculpté à la pierre, à la terre et au bronze.
Si nous devions lui choisir un parrain, ce serait immanquablement Degas.
Il y a dans ses sculptures toute la grâce, toute la légèreté, la
finesse et la vie de ses danseuses. Le nez toujours pointé en l'air,
cheveux ébouriffés par le vent, la jupe qui se retrousse juste ce qu'il
faut pour émoustiller, la souplesse du corps qui fait des mimes, tout
est là pour donner la vie à ces petites femmes mutines.
Aucune d'entre elles n'est figée dans une attitude "posée", toutes sont là, saisie sur le vif et prêtes à se mettre en mouvement. Elles marchent d'un pas léger et dansant, demeurent un instant songeuses, offrant leur visages aux rayons de soleil, ou bien jouent tendrement avec leur bébé. Pas de ces maternités lourdes et pompeuses, mais de jeunes mamans pleines de vie et d'amour, berçant leur enfant.
Josepha a saisi toutes les attitudes de l'existence heureuse pour animer ses sculptures, et mariant le verre au bronze, elle nous offre de jeunes beautés, à califourchon sur de vieilles souches noueuses ou se balançant sur une escarpolette improvisée dans un vieux bois tordu.
La patine de ses bronzes aussi mérite que l'on s'y attarde, car elle concourt à ce souffle de la vie : les corps ont des nuances de vert bleuté ou de cuir doré, mais les robes, les jupes virevoltent dans leur propres couleurs. Non contente de sculpter, Josepha peint, à l'huile ou à l'acrylique, des toiles débordantes de féminité elles aussi, où l'on retrouve la femme, mannequin à la taille de guêpe, souple comme une liane, habillée de robes extravagantes, véritable rêve de couturière. Ces princesses de contes de fées, parées pour de mystérieuses fêtes, ressemblent étrangement à leur amies en bronze...
Elle
est ainsi passée du cuir sculpté à la pierre, à la terre et au bronze.
Si nous devions lui choisir un parrain, ce serait immanquablement Degas.
Il y a dans ses sculptures toute la grâce, toute la légèreté, la
finesse et la vie de ses danseuses. Le nez toujours pointé en l'air,
cheveux ébouriffés par le vent, la jupe qui se retrousse juste ce qu'il
faut pour émoustiller, la souplesse du corps qui fait des mimes, tout
est là pour donner la vie à ces petites femmes mutines.Aucune d'entre elles n'est figée dans une attitude "posée", toutes sont là, saisie sur le vif et prêtes à se mettre en mouvement. Elles marchent d'un pas léger et dansant, demeurent un instant songeuses, offrant leur visages aux rayons de soleil, ou bien jouent tendrement avec leur bébé. Pas de ces maternités lourdes et pompeuses, mais de jeunes mamans pleines de vie et d'amour, berçant leur enfant.
Josepha a saisi toutes les attitudes de l'existence heureuse pour animer ses sculptures, et mariant le verre au bronze, elle nous offre de jeunes beautés, à califourchon sur de vieilles souches noueuses ou se balançant sur une escarpolette improvisée dans un vieux bois tordu.
La patine de ses bronzes aussi mérite que l'on s'y attarde, car elle concourt à ce souffle de la vie : les corps ont des nuances de vert bleuté ou de cuir doré, mais les robes, les jupes virevoltent dans leur propres couleurs. Non contente de sculpter, Josepha peint, à l'huile ou à l'acrylique, des toiles débordantes de féminité elles aussi, où l'on retrouve la femme, mannequin à la taille de guêpe, souple comme une liane, habillée de robes extravagantes, véritable rêve de couturière. Ces princesses de contes de fées, parées pour de mystérieuses fêtes, ressemblent étrangement à leur amies en bronze...
Você tem topete para usar?
Pois
é, o topete é a aposta da vez e está vindo com tudo. Alguns são bem
elaborados, assimétricos, arrumadinhos e outros mais largados e
descontraídos.
Eles lembram algumas décadas passadas e são inspirados nas divas Audrey Hepburn e Brigitte Bardot.
Você sabia?
Nos anos 60, movidos pelo rebolado de Elvis Presley, os jovens revolucionaram a moda?
Aquele que não usasse roupas de couro, topete, jeans e que não aderisse a
andar de lambreta era considerado fora da moda, era um careta. Pode-se
dizer que os anos rebeldes foram uma explosão de juventude.
A moda sempre resgatando algo do passando e dando uma repaginada para a contemporaneidade.
Acho que dessa vez o spray fixador. Retrô=laquê, vai ser aderido com vontade.
Os topetes, dependendo
do dia e da situação do cabelo, até que são uma boa saída para manter a
elegância, pois alguns deles deixam a pessoa charmosa e sofisticada.
Tem topete para todo gosto.
Os bumpits dão um suporte e tanto aos penteados.
Curiosidade:
A mutação que deu origem ao topete (pássaro) ocorreu por volta do ano de 1700 e está presente em muitos tipos de aves.
Dentro dessas raças, algumas possuem como característica, o TOPETE.
Quem copiou quem? Podemos dizer que os animais aderem esse lance de moda.kkkkk
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